Indiquez clairement la valeur de votre contenu
Votre contenu doit crier : « Cela vaut la peine que vous y consacriez du temps ». À chaque seconde, votre public évalue si ce que vous lui proposez va améliorer sa vie ou s’il ne fait qu’ajouter du bruit. Les gens ne lisent pas pour « apprendre les bases du référencement » ; ils lisent pour « mieux se classer, obtenir plus de prospects qualifiés et dominer leur niche ». C’est la valeur que vous apportez.
L’essentiel est de relier directement votre contenu à des avantages tangibles. Si vous écrivez pour des cadres, par exemple, vous montrez comment le contenu rendra leur entreprise plus efficace, les aidera à conclure des contrats plus rapidement ou leur donnera l’avantage sur un marché concurrentiel. Posez-vous toujours la question suivante : « Pourquoi cela est-il important pour eux ? » Si la réponse n’est pas évidente, réécrivez votre texte jusqu’à ce qu’il soit parfaitement clair.
Une bonne règle de base ? Utilisez le test « Et alors ? Après chaque point, posez-vous la question « Et alors ? ». Si votre réponse ne présente pas d’avantage émotionnel ou pratique, continuez à l’affiner. N’oubliez pas que la valeur n’est pas ce que vous pensez que votre contenu vaut ; c’est ce que votre public en retire. Si vous leur apportez cette valeur, ils reviendront pour en savoir plus.
Simplifiez le contenu pour qu’il soit lisible et facile à lire.
Personne n’a le temps de décoder des murs de texte. Si votre contenu n’est pas clair, concis et facile à parcourir, il est mort à l’arrivée. Un jargon dense ou des paragraphes interminables sont un aller simple pour un « onglet fermé ».
Décomposez les choses pour votre public. Structurez votre contenu à l’aide de titres clairs, de puces et de phrases courtes et précises. Chaque section doit mener logiquement à la suivante, sans détours inutiles.
Par exemple, au lieu de dire « Le paysage marketing d’aujourd’hui nécessite une approche sur plusieurs fronts », dites « Le marketing moderne exige un mélange de stratégies numériques et traditionnelles ». Il s’agit de s’assurer que votre public comprend ce que vous dites sans effort.
Le formatage est votre meilleur ami. Les titres agissent comme des panneaux indicateurs, les puces sont des aires de repos et les phrases concises sont les routes qui relient le tout. Faites de votre contenu une expérience qu’ils ont envie de vivre plutôt qu’une corvée qu’ils ont envie d’abandonner.
Adapter le contenu à un public spécifique
Le contenu générique ne fonctionne plus. Si votre public ne se reconnaît pas dans votre contenu, il en déduira qu’il ne lui est pas destiné.
Commencez par déterminer exactement à qui vous vous adressez. S’agit-il du directeur financier d’une entreprise manufacturière de taille moyenne ? D’un responsable informatique aux prises avec des protocoles de cybersécurité dépassés ? Soyez précis. Sachez quels sont leurs problèmes, leurs objectifs et les défis qu’ils doivent relever au quotidien.
Ensuite, adressez-vous directement à eux. Par exemple, remplacez « Comment rationaliser les opérations » par « Comment les responsables des opérations dans les entreprises manufacturières de taille moyenne peuvent réduire les coûts de 15 % ». Cette spécificité permet d’attirer l’attention et d’instaurer la confiance, car elle montre que vous comprenez leur monde.
L’ajout d’exemples ou de scénarios spécifiques à un persona est également très utile. Un contenu adapté dit à votre public : « C’est pour vous », et c’est la première étape pour maintenir son intérêt.
Fixez des attentes appropriées pour les objectifs de votre contenu
Si vous attendez d’un article de blog éducatif qu’il vous permette de conclure une affaire d’un million de dollars, vous risquez d’être déçu. Les différents types de contenu ont des objectifs différents, et il est essentiel de le comprendre pour s’aligner sur le parcours de votre public.
Pensez à l’entonnoir. Le contenu du haut de l’entonnoir (TOFU), comme les blogs, les infographies et les webinaires d’introduction, a pour but de sensibiliser les gens. Le contenu du milieu de l’entonnoir (MOFU), comme les livres blancs ou les études de cas, nourrit la confiance et la crédibilité. Enfin, le contenu du bas de l’entonnoir (BOFU) est l’étape de la vente, mais uniquement lorsque votre public est prêt.
Par exemple, un webinaire intitulé « Tendances en matière de cybersécurité en 2025 » a pour but d’informer votre public. Votre CTA pourrait être : « Planifiez une évaluation gratuite de la sécurité », et non « Achetez maintenant ». La différence réside dans le fait que vous vous positionnez comme un conseiller de confiance, et non comme un vendeur pressant.
Fixez des objectifs réalistes pour votre contenu. Précisez ce que votre public doit en retirer, qu’il s’agisse de connaissances, d’outils ou de stratégies. Si vous répondez à leurs attentes, ils vous feront confiance pour les satisfaire encore et encore.
Fournir un contenu de grande valeur pour justifier l’engagement du public
L’attention est la monnaie la plus précieuse. Votre public se demande constamment : « Est-ce que cela vaut la peine que j’y consacre du temps ? » Si votre contenu n’offre pas une grande valeur ajoutée, il ne s’engagera pas, c’est aussi simple que cela.
Un contenu de grande valeur résout des problèmes spécifiques ou fournit des informations exploitables. Les sujets généraux et génériques ne suffisent plus. Par exemple, au lieu de proposer « 5 conseils pour améliorer vos publicités numériques », concentrez-vous sur quelque chose comme « 5 astuces de copywriting pour doubler vos taux de conversion ». C’est plus précis, mieux ciblé et immédiatement utile.
Proposez des outils qui leur facilitent la vie. Des outils tels que des calculateurs de retour sur investissement, des listes de contrôle ou des modèles montrent que vous les aidez activement. Par exemple, un « calculateur de retour sur investissement pour les campagnes publicitaires numériques » est à la fois un bon contenu et une ressource qu’ils utiliseront à plusieurs reprises, ce qui renforcera leur confiance et leur fidélité.
Posez-vous toujours la question : « Qu’est-ce que mon public va retenir ? » Si la réponse est vague, retournez à votre planche à dessin. Plus vous apportez de valeur ajoutée, plus votre public investira son temps et, à terme, sa confiance en vous.